Un incendie s'est déclaré vendredi 12 juin 2020 à 10h35 à l'avant de l'un
des six sous-marins nucléaires d'attaque de l'armée française, le «
Perle », en cale sèche dans l'arsenal militaire de Toulon (Var). Une quarantaine d'employés travaillaient à bord quand le sinistre s'est déclenché. Il a fallu quatorze heures aux 250 pompiers et sous-mariniers pour maîtriser le sinistre, parti dans une zone peu accessible du sous-marin. Les compartiments de propulsion atomique n'auraient pas été touchés selon la
préfecture maritime de la Méditerranée tandis qu'étaient recherchés«
d'autres foyers » éventuels. Tandis que d'importantes fumées noires se répandaient alentours, les autorités affirmaient qu'il n'y aurait pas eu de rejets radioactifs .
Mot-clé - sous-marin nucléaire
dimanche 14 juin 2020
Incendie à bord d'un sous-marin nucléaire en rade de Toulon
Par Rédaction le dimanche 14 juin 2020, 23:06 - Var
lundi 30 mars 2015
Nucléaire : après les pertes faramineuses d'Areva (près de 5 milliards d'euros), c'est au tour de la DCNS d'annoncer 336 millions de perte pour 2014
Par admin le lundi 30 mars 2015, 17:32 - National
C'est le nouveau Pdg du groupe spécialisé dans l'armement naval
militaire nucléaire et ancien directeur général de Technicatome/Areva
T.A qui fait l'annonce : le groupe militaire nucléaire DCNS constate une perte
sèche de 336 millions d'euros et un chiffre d’affaires en recul de 9
%. Du fait de sa participation au projet de réacteur expérimental
nucléaire Jules Horowitz du Commissariat à l’énergie atomique à
Cadarache (Bouches-du-Rhône) et des programmes de sous-marins nucléaires
d’attaque dit de « nouvelle génération ». Du jamais vu...
mercredi 11 juin 2014
Tricastin : le démantèlement d'Eurodif révèle un trop plein d'uranium, équivalent à une dizaine de sous-marins nucléaires.
Par admin le mercredi 11 juin 2014, 11:31 - Tricastin
Alors que les opérations de démantèlement d'Eurodif/Areva déjà réalisées laissent apparaître des quantités d’Uranium bien supérieures à celles attendues : la Direction veut arrêter les opérations au 31 décembre 2015 qu’il reste ou non de l’uranium dans les installations. Pourtant Il faudrait un an de plus pour évacuer des installations contaminées par les 100 tonnes d’uranium
restantes équivalent au combustible d’une dizaine de sous-marins
nucléaires.
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