Profitant de la crise sanitaire du coronavirus le pouvoir prend un
décret, publié ce vendredi 3 avril 2020 au Journal officiel, qui accorde
un nouveau délai de 4 ans à EDF pour tenter de mettre en service le
réacteur nucléaire maudit. Initialement autorisé par un décret du
premier ministre D.De Villepin le 10 avril 2007 (entre les deux tours de
l’élection présidentielle) l'EPR bénéficiait pourtant d'un délai
maximal de treize ans pour voir son chantier achevé et le chargement du
"combustible" nucléaire effectué. Que ce soit sous les présidences de N.Sarkozy (droite UMP), des
socialistes F.Hollande/Valls/Cazeneuve et de la droite macroniste : l'entêtement et les compromissions avec la nucléocratie sont de mise.
Mot-clé - retard
vendredi 10 avril 2020
EPR : le gouvernement et E.Macron profitent de la crise du coronavirus pour accorder par décret un délai supplémentaire ruineux de 4 ans à EDF
Par Rédaction le vendredi 10 avril 2020, 15:05 - National
mardi 15 mai 2018
EDF : le roi de l'intox, des vessies pour des lanternes
Par Rédaction le mardi 15 mai 2018, 12:12 - National
L’Assemblée générale d’EDF de ce 15 mai 2018 est un florilège
d'intoxications et de mensonges, histoire de tenter de faire prendre des vessies
pour des lanternes; au petit peuple comme aux investisseurs. Alors que l'entreprise accumule une dette brute de 67 milliards d’euros et un "free cash flow" négatif pour la 11ème année consécutive, que le fiasco technique et financier de son projet EPR plombe internationalement sa crédibilité, que l'entreprise a été éjectée du CAC40 et vu ses actions chuter au plus bas, son PDG en poste actuellement, le polytechnicien Bernard Lévy, promet "transition énergétique, investissements faramineux, prolongation des vieilles casseroles atomiques, développement à l'international". Délires. Un bis-repetita à la sauce Areva-Orano.
mardi 4 septembre 2012
Le projet du réacteur nucléaire Atmea a du plomb dans l'aile. Zizanie et coup fourré sur fond d'obscurantisme scientiste.
Par admin le mardi 4 septembre 2012, 13:57 - National
Atmea, c'est le projet qui sème la zizanie au sein du lobby nucléaire français. Même Areva, qui l'a conçu avec l'industriel japonais Mitsubishi, refuse d'évoquer le sujet. C'est un nouveau réacteur (sur le papier) dont personne ne veut parler.
Comme si ce dernier rejeton du dépassé nucléaire, baptisé Atmea, était
de condition honteuse. Une illustration de l'entêtement de quelques fanatiques nucléopathes incapables de tourner la page de leurs chimères et prêts à s'engouffrer dans une discorde pathétique sur le dos des populations et de la planète au nom de l'obscurantisme scientiste de la destruction atomique.
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