Les écrits sur "le nucléaire après le pétrole" sont rares. Or, s’il y a effondrement économique, comment maintenir les techniciens
et ingénieurs à leurs postes ? S’il y a une rupture d’approvisionnement
en énergie, et en particulier en pétrole, les procédures d’arrêts
seront-elles toutes opérationnelles ? Pouvons-nous laisser des centaines de réacteurs nucléaires à travers le monde (450 réacteurs nucléaires civils dans le monde, 144 en Europe dont 58 en France) à
l’abandon fondre les uns après les autres, expulsant dans les airs et
les cours d’eau une radiation mortelle ? Faut-il imaginer les employés des centrales atomiques transporter des seaux d’eau pour assurer le refroidissement ?
Mot-clé - effondrement
mardi 17 juillet 2018
Réfléchir : qu’adviendra-t-il de nos centrales nucléaires dans un contexte d'effondrement de la société thermo-industrielle?
Par Rédaction le mardi 17 juillet 2018, 10:30 - International
jeudi 11 mai 2017
Poubelle nucléaire de Hanford aux Etats-Unis : effondrement d'un tunnel de déchets radioactifs
Par Rédaction le jeudi 11 mai 2017, 18:39 - International
Un tunnel rempli de déchets radioactifs s'est effondré près d'une
ancienne installation militaire d'extraction de plutonium et d'uranium
sur le site de stockage atomique de Hanford dans l'Etat de Washington
aux USA. Depuis 2008 le français Areva est l'un des intervenants
impliqués dans les opérations de démantèlement/assainissement du site.
jeudi 1 janvier 2015
Réjouissant : Areva s'effondre financièrement en France et dans le monde à -52,03 % fin 2014. C'est la chute finale...
Par admin le jeudi 1 janvier 2015, 13:37 - National
Areva (groupe nucléaire public-privé) s'effondre et finit son année
boursière en chute de -52,03% (le cours de l'action n'est plus qu'à 9,12
euros fin 2014). C'est le résultat de difficultés financières nées de gabegie et d'acquisitions-spéculations hasardeuses, de fiascos techniques à répétition (EPR Finlandais, EPR de Flamanville notamment), de la régression du marché de
la destruction atomique avec aussi l'arrêt du "marché japonais" depuis la catastrophe nucléaire de Fukushima. Toute la presse économique et financière s'inquiète, et l'Etat avec elle, de ce "grand bond en arrière". Pour les citoyens qui luttent contre les passéistes de l'atome, c'est une bonne nouvelle qui devrait conduire à l'abandon immédiat de cette aberration criminelle.
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