2022-11-22_ITER_vvs6_sandwich_1_small.jpgLe démoniaque et titanesque programme international ITER de tests censés démontrer la viabilité de la fusion nucléaire à grande échelle (reproduire sur Terre ce qu'il se passe dans le soleil ou une étoile) bat de l'aile à Cadarache dans les Bouches-du-Rhône. Des fissures atteignant jusqu'à 2,2 millimètres de profondeur ont été repérées dans plusieurs composants clé du tokamak, tels les boucliers thermiques et des secteurs de la cuve à vide construit par la Corée du Sud, à l'intérieur duquel devait se produire la fusion à 150 millions de degrés d'isotopes d'hydrogène, de deutérium et de tritium. Un nouveau fiasco pour la nucléocratie impliquant 35 pays dont la France depuis 2006, et des retards de mise en service, des surcoûts astronomiques, un pognon de dingues. Ces fuites avaient, dans le plus grand secret et mutisme des autorités, été détectées dès novembre 2021 pendant des tests à l'hélium.