Face au pot de fer et à la vindicte des tenants de la destruction atomique, l'individu et le collectif citoyen n'ont d'autres armes que la parole jointe à l'acte. D'un côté, les suprémacistes : la violence de la domination institutionnelle et de la prédation économique, environnementale, sur le vivant; et de l'autre : des individus divers et variés en état de légitime défense, en Résistance. Ce procès en diffamation, procès-bâillon intenté par Areva contre la CAN-SE et notre compagnon Jean, est à l'image du totalitarisme rampant qui gangrène la société. Nous publions donc, afin que chacun-e sache et puisse agir, nos propres armes : celles de la connaissance et de la conscience. Voici les pièces à conviction du crime nucléaire et de l'implication d'une entreprise qui ne veut pas être nommée.
Mot-clé - Paris
dimanche 20 août 2017
Procès-bâillon d'Areva contre la liberté d'expression : "Nous ferons du 12 septembre une dénonciation publique du crime nucléaire". Nous publions les pièces à charge
Par Rédaction le dimanche 20 août 2017, 12:01 - National
mercredi 14 novembre 2012
Vigie devant le ministère de la santé à Paris pour dénoncer la complicité de l'OMS et du gouvernement français avec l'AIEA
Par admin le mercredi 14 novembre 2012, 11:39 - National
Le collectif "Santé et nucléaire - Pour l'indépendance de l'OMS
(IndependentWHO)" dénonce depuis cinq ans et demi, par sa présence
permanente (Vigie d'Hippocrate) devant le siège de l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé) à Genève, les
mensonges et dissimulations de cette organisation internationale sur les conséquences sanitaires de la contamination radioactive. Depuis 26 ans, l'OMS ne porte pas assistance aux victimes de Tchernobyl et abandonne à présent les victimes de Fukushima. Depuis le vendredi 9 novembre 2012, une vigie a commencé devant le ministère de la santé à Paris pour dénoncer la co-responsabilité de la France dans cette ignoble position.
Derniers commentaires