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mercredi 8 avril 2020

La forêt brûle autour de Tchernobyl. Radioactivité en hausse, la France touchée.

2020-04-07_centrale-nucleaire-Tchernobyl_Ukraine.jpgUn incendie s’est déclaré le 4 avril 2020 en Ukraine dans la zone d’exclusion de 30 km autour de la centrale nucléaire accidentée de Tchernobyl (Ukraine) située à environ 100 km au Nord de Kiev. Cet incendie s’est rapidement propagé pour atteindre une superficie d’environ 100 hectares. Un tel évènement, qui s’est déjà produit par le passé, conduit à la remise en suspension de césium 137 radioactif et d'autres radio-contaminants dans l’air. La France n'est pas épargnée.

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samedi 11 mai 2019

Plan de Gestion des Matières et Déchets Radioactifs : une campagne officielle de désinformation et de fake-news. La vérité : 200 millions de m3 de déchets radioactifs et non pas 1,6 millions de m3

2019_dechets-radioactif-empoisonnement.jpgPGMDR : le dossier mis en débat par l'Etat et la nucléocratie est truffé d’affirmations erronées et de présentations partisanes repris et largement diffusé par les réseaux sociaux et les médias. Présentation qui se veut rassurante mais trompeuse. Ainsi de la grossière sous-évaluation des volumes de déchets, tels les 282000m3 de  boues  radioactives  de  Malvési, les 23millions de m3 de déchets issus de la lixiviation (dynamique) du minerai d’uranium, les 537000m3 de  déchets dits TFA (Très Faible  Activité),  les 15 millions  de  m3 de  déchets  issus  de  la lixiviation (statique) des minerais pauvres, les dizaines de millions de m3 de stériles uranifères, les centaines de millions de mètres cubes produits à l’étranger par Cogema/Areva/Orano pour les besoins de l’industrie  nucléaire  française. Au final, il n’y a pas 1,6 millions de m3 de déchets radioactifs en France mais de l’ordre de 200 millions de m3. Déchets dont la durée de vie ou la radiotoxicité sont sous-évalués. En matière de nucléaire, les consultations, débats publics et autres enquêtes publiques ne sont pas instaurés pour rechercher les options  le  plus satisfaisantes  pour  l’intérêt  général  mais  pour  donner  un  vernis démocratique à des décisions déjà prises.

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