Deux chercheuses, Christine Fassert (Socio-anthropologue, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne) et Tatiana Kasperski (Chercheure associée au Departement des Humanités, Universitat Pompeu Fabra) ont étudié et analysé comment depuis l’accident de Tchernobyl la monopolisation de l’autorité du savoir sur les radiations ionisantes a été instrumentalisé par un ensemble restreint d’organisations (l’Agence internationale de l’énergie atomique/AIEA, la Commission internationale de radioprotection/CIPR et le Comité scientifique des Nations unies pour l’étude des effets des rayonnements ionisants/UNSCEAR). Par un jeu d’alliances et de cooptations, ces organisations se
constituent en un ensemble monolithique sur le risque radiologique. À partir de ce moment, les points de vue différents portés par des individus, des scientifiques « dissidents » parfois au coeur même de l’Organisation mondiale de la Santé pour l’Europe ou appartenant à des organisations indépendantes sont systématiquement délégitimés et renvoyés à une forme de marginalité péjorative militante.
Mot-clé - CIPR
vendredi 23 avril 2021
Risques nucléaires : à quand la fin du monopole des experts internationaux producteurs d'ignorance?
Par admin le vendredi 23 avril 2021, 12:07 - International
mardi 24 mars 2020
Nucléaire : cet autre confinement qui nous attend. Appel à l'insurrection des consciences
Par Rédaction le mardi 24 mars 2020, 11:47 - International

lundi 7 novembre 2016
Vivre dans le jardin nucléaire avec Ethos, un crime contre l'humanité.
Par Pierre le lundi 7 novembre 2016, 14:00 - Savoir et Comprendre
Pour
reprendre les termes d'une récente tribune libre*, les aménageurs
de la vie mutilée (vie dite aussi demi-vie**), prétendent que la
contamination, dangereuse
en principe, s’avérerait en fait inoffensive dans la vie réelle.
C'est un mensonge d'une extrême violence, une insulte
aux proches des victimes et aux survivants, dans le but de
restreindre les évacuations et les mesures de protection, exposant
ainsi les populations touchées aux terribles dégâts sanitaires.
C'est un crime.
mercredi 28 septembre 2016
Les pectines, le projet Ethos et le crime du lobby.
Par Pierre le mercredi 28 septembre 2016, 15:31 - Savoir et Comprendre
Remèdes
pour réduire la contamination radioactive des habitants des zones
touchées par Tchernobyl, les distributions de pectines ont été
bloquées par l’action criminelle du lobby français de l’atome
imposant le projet Ethos, afin ne pas avoir à reconnaître les dégâts de la radioactivité post-catastrophe. Cas de la Biélorussie
et de l’Institut Belrad.
Les données scientifiques s’appuient sur la note technique d'Yves
Lenoir, d’août 2016, « Césium 137 et... pectines ».
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