Libertés ! encore 4000 à Avignon pour un troisième samedi de manifestation
Par admin le dimanche 1 août 2021, 17:50 - Vaucluse - Lien permanent
Pour la troisième fois, une foule toujours diversifiée a envahit les rues d'Avignon ce samedi 31 juillet 2021 aux cris de "Non au pass sanitaire", "Libertés", "Non à l'obligation vaccinale". Aux coudes à coude des personnes inoculées par les produits ARNm et des non piqués, beaucoup de femmes et de soignants, mais aussi des antinucléaires, des gilets jaunes, des anti-facistes, des écologistes, des usagers des médecines douces, des militants de la France Insoumise, des libertaires, des syndicalistes de Sud-Solidaire,... pour ne pas céder un pouce au despotisme macroniste.
la vidéo
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les précédents articles et reportages sur la mobilisation en Vaucluse : 17 juillet 2021 . 24 juillet 2021
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photos/vidéos : DR, MC, DL
Commentaires
l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) publie un « suivi hebdomadaire des effets indésirables des vaccins »
Concernant le vaccin de Pfizer, plus de 42,5 millions de doses avaient été administrées au 1er juillet 2021 (dont 700 000 à des jeunes de 16 à 18 ans) et 31 389 cas effets/évènements indésirables déclarés, principalement par les professionnels de santé. Parmi eux, 8 689 événements « graves » survenus à partir de l’âge de 30 ans (27,7% du total des événements indésirables), dont 2 551 mises en jeu du pronostic vital, 460 invalidités ou incapacités et 761 décès.
Au 8 juillet 2021, au terme d’environ 6 mois de campagne vaccinale, la pharmacovigilance française du vaccin AstraZeneca rapporte un total de près de 43 000 effets/évènements indésirables, dont 9 637 (22,5%) classés comme « graves ». Ces derniers sont des réactions immédiates à la vaccination, des affections du système nerveux (paralysies notamment), des problèmes vasculaires (thromboses, AVC notamment), des problèmes respiratoires graves et cardiaques graves, enfin des problèmes cutanés très importants, des affections hématologiques et des troubles graves de la vision et/ou de l’audition.
Source : CRPV de Bordeaux, CRPV de Marseille, CRPV de Toulouse, CRPV de Strasbourg, Enquête de pharmacovigilance du vaccin Pfizer – BioNTech Comirnaty
Aux Pays-Bas, le centre de pharmacovigilance (bijwerkinden centrum - LAREB) fait un point mensuel sur la vaccination et ses effets indésirables, ces derniers étant principalement signalés par les citoyens. Dans sa dernière actualisation du 4 juillet 2021, il faisait état de 16,5 millions de doses administrées, principalement le Pfizer (11,8 millions de doses, contre 2,8 millions pour AstraZeneca, 1,3 million pour Moderna et 600 000 pour Janssen). A cette date, 93 453 déclarations d’effets indésirables avaient été remontées concernant les conséquences de la vaccination anti-covid, parmi lesquels les thromboses dans le cas des vaccins AstraZeneca et Janssen. Enfin, le centre comptait 448 décès rapportés comme liés à la vaccination, concernant principalement des personnes âgées et principalement le vaccin Pfizer.
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Commission Européenne et gouvernements européens dont celui de Macron se couchent servilement devant les exigences de profits des actionnaires de BigPharma et du fond financier BlackRock.
(journal Les Echos du 2/08/2121) :
"Le prix des vaccins contre le Covid commandés par la Commission européenne aux groupes pharmaceutiques devait rester confidentiel. Selon le Financial Times , les laboratoires Pfizer, BioNTech et Moderna ont récemment renégocié leurs contrats avec l'Union européenne, et augmenté leurs prix. Le quotidien britannique, qui a pu consulter ces contrats, affirme que le prix d'un vaccin Pfizer passe ainsi de 15,50 euros à 19,50 euros et celui de Moderna de 19 euros à 21,50 euros."
La Commission européenne a refusé tout commentaire, mettant en avant la confidentialité des contrats.
En mai, l'Union européenne a passé un nouveau contrat pour acheter jusqu'à 1,8 milliard de doses de vaccins Pfizer-BioNTech, livrables jusqu'en 2023. Fin juin, la Commission européenne avait par ailleurs annoncé avoir acheté 150 millions de doses supplémentaires du vaccin Moderna. Le montant d'aucun de ces deux contrats n'avait alors été dévoilé.
Enfin une vision élargie de la crise, des références historiques et culturelles, une éthique de l'essence humaine : https://www.youtube.com/watch?v=fSu...
Pourquoi je manifeste pour la première fois : https://videos.ehs-france.org/Non_P...
A partir de ce lundi 2 août 2021 une nouvelle carte d'identité électronique avec puce contenant toutes les informations d'identité et photo et empreintes. et un QR Code avec une signature électronique est instaurée en France. Tous les services de l'État vont pouvoir s'en servir pour vérifier et contrôler qui vous êtes.
Ex: si vous devez fournir une photocopie de votre carte d'identité à la Caisse d'allocations familiales, les agents de la CAF vont pouvoir scanner votre QR code, vérifier que les informations correspondent bien à ce qui est noté et visible sur la carte.
La nouvelle version de la carte d'identité est valable 10 ans contre 15 ans pour les cartes actuelles.
Vivement la puce RFID, le QR code sur le front et pourquoi pas un petit systeme qui mette hors d'état de penser les dissidents
Le Conseil constitutionnel a donc écarté d'un revers de main dédaigneux toutes les objections concernant l'obligation de passe sanitaire pour certains salariés, prévue par la loi votée par le Parlement. Une seule disposition a été modifiée, celle qui autorisait la rupture anticipée des contrats à durée déterminée (CDD). Finalement, ces contrats seront suspendus en cas de non-présentation du passe sanitaire comme le seront les contrats des salariés en CDI.
Mais l'essentiel est conservé. La juridiction constitutionnelle a bel et bien validé des dispositions que l'avocate spécialisée en droit du travail, Michèle Bauer, dans un texte du 19 juillet, qualifie de « dangereu[ses] et inquiétant[es] ». La question, ici, précisons-le d'emblée, n'est en réalité pas (uniquement) sanitaire. Elle ne s'inscrit pas dans le combat autour du vaccin, mais plutôt dans le choix des moyens utilisés dans le cadre de la crise sanitaire et de ses conséquences sur la relation entre salariés et employeurs et, plus généralement, entre capital et travail.
C'est en jouant sur le chantage à l'emploi et au salaire que le gouvernement entend appliquer sa politique de santé publique.
Ce gouvernement, qui a été si mielleux avec les entreprises durant toute la crise sanitaire, qui s'est toujours refusé à aller au-delà de « recommandations » sur le télétravail ou l'organisation de l'espace dans les entreprises, et qui n'a jamais contraint le secteur privé sans de larges contreparties financières, a fait le choix de faire porter au salarié la responsabilité individuelle de sa politique sanitaire.
suite ici : https://www.mediapart.fr/journal/ec...
Le problème du Pass Sanitaire n'est pas tant dans le vaccin que dans le contrôle social, le fichage numérisé de la population. Cet instrument de contrôle biopolitique est une atteinte grave aux libertés. On s'habitue à être scanné pour avoir accès à un certain nombre de services en fonction de sa sérologie, et bientôt quoi ? Son casier judiciaire ? Son fichage politique ? Sa religion ? Son ethnicité ou son orientation sexuelle ?
➡ Le gouvernement prétend lutter contre l'épidémie, mais il met en place les mesures qui l'arrangent politiquement, sans considérer leur efficacité réelle. Que la population crève importe peu au pouvoir, l'important c'est qu'elle crève en silence, sans déranger. L'accent est ainsi mis sur la communication, sur des effets d'annonce permanents, ritualisés, quitte à raconter n'importe quoi. Chaque membre du gouvernement pourrait réclamer la palme de l'absurdité, de Frédérique Vidal annonçant la reprise des cours à l'université après la fin des examens à Sibeth Ndiaye qualifiant le port du masque de « geste technique précis», en passant par Jean-Michel Blanquer qui se vante partout d'avoir gardé les écoles ouvertes alors que son administration cachait les contaminations sous le tapis.
En résumé, la gestion du coronavirus par le pouvoir, c'est une gestion purement policière et autoritaire de la crise, doublée d'effets d'annonces inutiles, anxiogènes et qui font porter la responsabilité de la crise à celles et ceux qui la subissent.
➡ Le gouvernement a fait de la pandémie une opportunité : faire taire les contestations au nom d'une unité nationale face au covid, utiliser la maladie comme un choc pour attaquer les conquis sociaux de tous les côtés. Ce qui passait difficilement avant passe beaucoup plus facilement, puisque l'attention se porte sur la situation sanitaire. Ces attaques sont d'autant plus violentes qu'elles se passent du vernis démocratique habituel, on se rappelle du conseil de défense qui avait décidé de faire passer la réforme des retraites en force au lieu de gérer la crise sanitaire.
➡ L'imposition de mesures sanitaires très contestées sert donc de contre-feu à des mesures anti-sociales. Se focaliser sur le seul pass sanitaire, c'est faire le jeu du gouvernement, car c'est ne pas regarder son objectif politique réel : la destruction de tous les communs, de tous les espaces collectifs où la notion de solidarité prend le pas sur la concurrence.
https://www.nantes-revoltee.com/vac...
Les caractéristiques de la "torture psychologique" selon Amnesty International :
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Un article très instructif du magazine "Marianne" :
(extrait)" En cinq ans, entre les déjeuners, les dîners, les hébergements à l’hôtel, les frais de transport et les honoraires, les industriels ont payé pour 449.389 euros d'avantages à neuf experts du conseil scientifique placé auprès d’Emmanuel Macron ainsi que du Comité analyse et expertise (Care) chargé de l’éclairer sur les questions purement scientifiques liées au Covid-19. "
à suivre ici : https://www.marianne.net/societe/11...
Un appel d'offre de l'Union Européenne a eu lieu fin 2019, donc avant les 1er cas Covid, concernant la gestion de la certification vaccinale européenne.
Cet appel d'offre a intéressé Jouve pour le marché Européen et Atos pour le marché français. Atos, rejoint par l'ex 1er Ministre Edouard Philippe en Juin 2020, en pleine crise covid (et en dépit du fait qu'Atos était engagé avec l'Etat dans un autre appel d'offre).
Dans l'appel d'offre de fin 2019 est évoqué la nécessité d'une "preuve de vaccination". Donc, pour contrôler. Contrôler ce qui n'est pas encore obligatoire et ce qui n'est pas encore un "besoin" dans le contexte 2019, quelle drôle d'idée !
Et rappelons que le pass-sanitaire a été promu initialement et officiellement début 2020 par Thierry Breton, ex-PDG d'Atos, actuellement Commissaire européen au marché intérieur. Pourquoi un Commissaire européen du marché intérieur s'intéresse au passeport vaccinal (alors qu'il ne fait plus partie d'Atos, officiellement)? Parce que ce n'est que du business.
Par ailleurs, si la France craignait des risques pandémiques et menait des tractations au niveau Européen, comment se fait-il que l'Etat français n'ait pas pourvu à renouveler ses stocks d'urgence pandémique? Pourquoi, a-t-on laissé les usines de masque français ffp2 comme celle de Plaintel se fermer en 2018? Pourquoi a-t-on continué de fragiliser l'hôpital public plutôt que de chercher à le renforcer en vue d'un risque épidémique? etc... Ce n'est plus de l' incohérence c'est une volonté de nuire.
Il est précisé qu'il s'agit d"introduire des contrôles de routine du statut vaccinal et des possibilités régulières de se faire vacciner" (Qui dans le contexte de 2018 - 2019, ne sont pas appropriés aux petites flambées épidémiques de rougeole (je l'explique plus bas). Et cette phrase a été émise même en mai 2018 comme le démontre l'article de la fédération hospitalière de France. Qui précise d'ailleurs que l'objectif sont les non-vaccinés, et non la rougeole qui n'y est même pas mentionnée !
Article de la Fédération Hospitalière de France datant du 3 Mai 2018:
"Le 26 avril 2018, la Commission européenne a publié des recommandations destinées à renforcer la coopération dans la lutte contre les maladies à prévention vaccinale.
Le 26 avril 2018, la Commission européenne a publié des recommandations destinées à renforcer la coopération dans la lutte contre les maladies à prévention vaccinale.
Ces recommandations reposent sur trois piliers d’action : la lutte contre les réticences à l'égard des vaccins et l’amélioration de la couverture vaccinale, les politiques de vaccination durables dans l'UE ainsi que la coordination à l'échelle de l'UE et la contribution à la santé dans le monde. Elles appellent les Etats membres notamment à élaborer et mettre en œuvre des plans de vaccination nationaux et/ou régionaux d'ici à 2020, à introduire des contrôles de routine du statut vaccinal et des possibilités régulières de se faire vacciner à différentes étapes de la vie, ou encore d’agir en matière de formation des professionnels de santé.
La Commission devrait proposer des options pour une carte de vaccination commune, mettre en place un portail européen d'information sur la vaccination d'ici à 2019, un entrepôt de données de l'UE virtuel contenant des informations sur les stocks de vaccins et les besoins en la matière, réunir une coalition pour la vaccination destinée à informer et échanger les bonnes pratiques, ou encore dresser un calendrier européen des vaccinations de base d'ici à 2020 indiquant les doses et les âges sur lesquels l'ensemble des États membres s'accorderont. Cette proposition devrait être adoptée d’ici la fin de l’année et la Commission publiera un rapport sur « L'état de la confiance dans les vaccins dans l'UE ». Ces propositions ont été annoncées une semaine après une résolution du Parlement européen sur le sujet, intitulée « Réticence à la vaccination et baisse des taux de vaccination en Europe » et appelant la Commission et les Etats membres à agir dans ce domaine. "
---> Le projet de passeport vaccinal était déjà dans les tubes, avec l'intention équivoque de faire coalition contre les populations non-vaccinées, sans même qu'aucune épidémie ne l'ait justifié en Europe, dès 2018.
Par lutte contre les réticences à l'égard des vaccins, il faut bien évidemment comprendre "coercition".
Ça, on peut dire que les Etats-membres se sont bien entendus pour mettre en place leurs 3plans de vaccination en 2020"...
Pas de complotisme, c'est écrit noir sur blanc.
Prendre un avion pour voyager à l'international, ce n'est pas de la routine. Des "contrôles de routine", c'est pour aller boire un café. Voilà, ils l'ont fait comme ils l'avaient prévu dès 2018. Grâce à l'argument covid, ils l'ont fait "accepter" aux populations qui n'auraient jamais accepté ça.