3000 personnes à Avignon contre l'apartheid sanitaire et la dictature vaccinale
Par admin le samedi 17 juillet 2021, 21:48 - Vaucluse - Lien permanent

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Cela faisait longtemps que l'on avait vu autant de monde manifester dans les rues d'Avignon. Pourtant ils ne se connaissaient pas forcément mais faisait grande force, bien que ne répondant pas à un quelconque appel syndical ou de parti politique. D'ailleurs l'absence de ceux-ci, de gauche, étaient particulièrement remarquée. En se refusant à être aux côtés et avec la contestation du pouvoir ils niaient ainsi leur rôle de propositions, d'analyse et de perspectives politiques. Quelques membres individuels cependant étaient là, du NPA et de la FI, et parmi les manifestants: la Confédération paysanne, PEPS et bien entendu les antinucléaires du CAN84 défenseurs indéfectibles des libertés. Un drapeau siglé de la faucille et du marteau claquait au vent : celui de communistes-libertaires italiens venus soutenir cette résistance en France.
Des femmes, beaucoup de femmes, des mères, des grand-mères, des soignantes et infirmières, des lycéennes et étudiantes. Les pancartes et les slogans scandaient tous ce besoin d'air, de libertés, de conquêtes humaines, de respect du vivant. Un refus de voir le peuple transformé, sous la férule autoritariste d'un pouvoir aux ordres des lobbys, en troupeau de moutons apeurés par la propagande et les mensonges d'Etat. Le refus de l'apartheid et de l'exclusion de ceux et celles qui font d'autres choix que de se plier aux ordres et souhaitent garder pour eux et pour tout le monde leur dignité et leur libre choix en toute circonstances, individuel et collectif.
Un refus que ce qui gangrène notre société depuis des décennies - l'organisation totalitaire et pyramidale niant le vivant qui règne dans et avec le nucléaire - envahisse toute la vie individuelle et collective. D'ailleurs la stratégie gouvernementale macroniste se focalise uniquement sur la virologie sans prendre en compte la toxicologie ambiante à savoir les conditions de vie dégradées, les radiations satellitaires et des antennes relais de toutes sortes, les irradiations des installations nucléaires, les épandages des toxiques agricoles, la mal-bouffe qui affaiblissent dangereusement les organismes vivants mais procurent tant de profits et de postes prestigieux à une petite élite de connivence.
Sur le passage des combattant.es de la défense des libertés concrètes et de la dignité, nombreuses étaient les marques de sympathie et de soutien : applaudissements, pouces levés, klaxons. Quelque chose avait ce goût d'un bonheur retrouvé, d'une prise de conscience de la force que représente le peuple quand il se met en marche pour ses propres valeurs.
Les nombreux et nombreuses soignantes et ASH, si dévouées mais corvéables à merci, exprimaient leur dégoût d'être traitées comme des moins que rien, menacées par le chantage ignoble macroniste, d'être virées si elles ne ne soumettaient pas et cela sans indemnité aucune ni chômage. Une casse du droit du travail et des conventions collectives incroyable que peu de syndicat semble à ce jour désapprouver. On aimerait entendre une parole forte et précise.
Certain.es portaient un masque d'autres pas, mais qu'importe, la tolérance et la bienveillance étaient une réalité face à l'intolérance étatique d'un petit caporal servant exclusivement les nantis, les dominants, les puissances d'argent, bien éloigné de l'intérêt collectif. Un petit monarque teigneux et infantile formé pendant deux années à la défense des intérêts des lobbys et des Etats-Unis au sein du sinistre programme d'entrisme et de manipulations US dans la politique et l'économie française. Son objectif : repérer et choisir ceux et celles qui pourraient un jour servir leurs intérêts. Le nom de ce programme : "Young Leader" de la French American Fundation. Y sont passé Hollande et Macron, Edouard Philippe et le chantre du nucléaire Jancovici et près de 400 autres ministres, journalistes, militaires, conseillers de toutes sortes. Ceux et celles qui aujourd'hui vous effraient et vous sidèrent puis vous disent peu de temps après d'aller vous faire piquer avec un produit expérimental bricolant la génétique.
Allez voir la liste complète vous ne serez pas déçu et comprendrez mieux comment une caste d'auto-proclamés cooptés à fait main basse sur le pays et la démocratie en traînant le peuple dans la boue. Et les poulains et pouliches suivant-es sont déjà prêt à sortir de l'écurie lorsque les maîtres, tel le fonds financiers spéculatif Black-Rock ( actionnaire des labos pharmaceutiques produisant le produit d'injection ARN expérimental imposé à la population et qui est en train d'empocher des millions d'euros d'argent public ) , décideront de remplacer et recaser leur marionnette actuelle Macron.
La dignité et la liberté ont une saveur bien plus suave que les dégueulis dictatoriaux du pouvoir. Liberté, émancipation, réappropriation.
la vidéo-reportage :
si la vidéo ne s'affiche pas correctement ou si vous ne parvenez pas à accéder à youtube, cliquez sur ce lien : https://youtu.be/Blm3mlerwaA ou télécharger le reportage ici
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Commentaires
Comprendre les mécanismes émergents des contributions toxicologiques qui engendrent l'épidémie du Covid-19 permet d'agir dans des conditions optimum pour la traiter, malheureusement ce n'est absolument la voie salvatrice actuellement choisie qui est celle des contributions virologiques coercitives qui ne résoudra pas à terme l'épidémie des variants du Covid-19.
Les contributions toxicologiques au COVID-19 (toxiques agricoles, radiatifs, irradiatifs,...) sont pour la plupart ignorées par rapport aux contributions virologiques. L'exposition à une myriade de substances toxiques dégrade le système immunitaire, dont le dysfonctionnement qui en résulte est ensuite exploité par le SRAS-CoV-2 pour aboutir au COVID-19
En conséquence puisque les réponses actuelles des gouvernements du monde entier au COVID-19 sont basées sur la virologie, sans tenir compte des problèmes toxicologiques, la pandémie du Covid-19 (variants) ne peut que perdurer pour la population dont le système immunitaire est maintenant dégradé par des facteurs contributifs toxicologiques.
Étude Scientifique Fondamentale : Covid-19 facteurs contributifs toxicologiques (PDF) : http://www.ehs-france.org/pdf/Covid...
Depuis lundi soir, je ne décolère pas. Je fais partie des citoyens de seconde zone qui ne sont pas vaccinés et qui se sentent pris au piège! Je ne suis pas anti-vaccin mais je n'aime pas faire quelque chose que je ne comprends pas et n'ayant aucune base scientifique solide, je me documentais et préférais attendre d'avoir des certitudes avant de passer à l'acte. Comme je suis en très bonne santé, il n'y avait pas d'urgence. Habitant dans les vallées vosgiennes où le virus a beaucoup circulé en mars 2019, j'espérais avoir peut-être une immunité. Inutile de dire que depuis lu ndi, je ne veux plus me faire vacciner du tout! Car je me demande ce qui se cache derrière ces injonctions. Big pharma lié à notre président? Virage autoritaire, totalitaire de la France? Je cherche depuis lundi à comprendre. Je ne suis pas un mouton et j'ai passé ma vie de militante à refuser d'entrer dans le parc qu'on m'assignait!
Que me reste-t-il à faire?
- trouver un médecin complaisant ou taxé de corrompu me faisant un faux?
- afficher ma condition de citoyenne de seconde zone pour résister?
- attraper vite le COVID pour être tranquille?
- rester enfermée chez moi et me priver de la culture et de la rencontre de l'autre qui sont mon carburant?
Voilà les interrogations que j'entends autour de moi...
... Je reste lecteur de vos informations (sauf quand ça délire trop) et je plussoie à cette info. D'ailleurs c'est bien la seule manif depuis longtemps à laquelle j'ai participé, anticipant que ça allait être beau.
Un tel nombre c'est surtout du jamais vu...en plein été. Mais on n'avait jamais vu de pandémie avant non plus, entrainant autant de mesures assez critiquables, jusqu'à l'inacceptable, pourtant accepté majoritairement, pour le moment.
Je refuse cependant le terme de "moutons", car on l'est tous pour tel ou tel camp, et ça n'est pas en traitant les gens de moutons qu'on les rallie à notre cause. Soumis me parait plus adapté. Dictature vaccinale c'est également un terme à éviter, nous sommes en régime autoritaire, pas en dictature. Enfin le terme "apartheid" doit être gommé (ainsi que les lamentables étoiles jaunes, même si on peut comprendre qu'un peuple matraqué socialement vire ext-droite)...
Je vais aussi répondre à la Présidente d'honneur de Attac, Susan George , mais pas de votre façon évidemment. Le problème de la domination mondiale des multinationales tout le monde le connait et ça n'est pas le sujet, là il faut rassembler sans diviser, pour faire tomber cet inadmissible pass-sanitaire discriminant (l'apartheid c'est autre chose) et socialement dévastateur
Il faudra montrer son QR Code à peu près partout, y compris pour fair e ses courses. A raison de 70 € le test PCR à partir d'octobre, je ne vois pas comment un Gilet jaune, par définition quelqu'un qui ne parvient pas à boucler ses fions de mois, ne sera pas obligé de se faire vacciner même s'il a la trouille.
Dire que le vaccin n'est pas obligatoire, c'est vraiment tenir le discours de Macron.
A tous ceux qui disent qu'il faut aller se faire vacciner pour les autres, je leur rappelle qu'on se fait vacciner avant tout pour soi-même. Et après, on dit qu'on l'a fait pour les autres, ça fait mieux. Seulement quand on n'a pas confiance, qu'on a la trouille d'un effet secondaire grave dans je ne sais combien de temps, et bien on ne se fait pas vacciner parce qu'on a la trouille pour soi. Et dire qu'on n'a pas à avoir la trouille, d'une la trouille ou la confiance ne se commande pas, et de deux, il y a 36 000 raisons invoquées par ceux qui ont la trouille ou pas confiance de se faire vacciner.
Macron joue avec les mots et les stratégies mais veut obliger les gens à se faire vacciner en dépit du fait qu'il avait dit qu'il ne le ferait jamais. Aujourd'hui, quand on compte les vaccinés et ceux qui ont été malades donc immunisés, cela donne 64% de la population immunisée, dont 79% des personnes vulnérables. Il n'y a que 21% de personnes vulnérables à protéger encore. Tous les autres n'ont pas à être obligés d'être vaccinés. Sinon , c'est de l'abus de pouvoir et non de la stratégie sanitaire.
Pass sanitaire = ausweis
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Les nazis n'auraient pas désapprouvé, un régime d'extrême-droite ne ferait pas mieux.
Le néolibéralisme (version d'économisme) montre à cette occasion son vrai visage...
Pauvre France, nous sommes coincés entre fascisme économique et fascisme politique !
Macron prend les Français pour des garnements à dresser et, plus trivialement, je dirai qu'il ne se sent plus pisser ! Il ne laisse guère le choix...
J'ai dans l'idée que cela sent le roussi pour lui. Il faudra s'organiser pour résister.
@+ et d'autres péripéties,
;-)
La stratégie gouvernementale de lutte contre la “pandémie” s’appuie sur les opinions technico-médicales (1) exprimées par une poignées de personnalités scientifiques, non dépourvues de conflits d’intérêts (2) , dont les décisions impactent dramatiquement tous les domaines de la vie sociale et économique du pays (3). Ainsi, les médecins sont loin d’être les seuls concernés et ne devraient donc pas être les seuls consultés (2)
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(1) https://blogs.mediapart.fr/paul-cas...
(2) https://www.francetvinfo.fr/sante/m...
(3) https://www.insee.fr/fr/information...
Je suis aide-soignante en EHPAD, une de celles que vous avez applaudit parce que, sans matériel de protection alors que le virus frappait, nous avons continué à prendre soin de vos ainés et de vos proches. Si nous avons choisit ce métier c'est bien par ce que nous sommes soucieuses de l'humain, attentives à ses besoins et notamment de ceux et celles des plus fragiles.
Depuis des années, nous autres premières de corvées, nous nous substituons parfois, souvent, à l'indifférence ou l'indisponibilité que les familles manifestent. Nous nettoyons les selles de vos anciens, leur faisons la toilette, soignons les corps usés, apaisons les bleus à l'âme aussi, les couchons, recueillons leurs confidences meurtries voire angoissées lorsque la nuit prend place dans les moindres recoins de l'être.
Nous fonctionnons, le terme est terrible à prononcer, à flux tendu, comme dans une entreprise de production de biens matériels. Nos hiérarchies appliquent scrupuleusement les exigences de rentabilité financière des ARS (Agence Régionale de Santé), nous poussent de plus en plus dans la maltraitance de fait sur ordre des gouvernements successifs. Nous avons honte parfois de ne pas pouvoir consacrer les quatre ou cinq minutes si nécessaires à écouter le résident en besoin de réconfort ou avec un petit problème spécifique à régler. Toujours plus vite, toujours plus.
Au fil des ans notre métier a été dévalorisé, méprisé par des êtres dirigeant-es qui ne sont plus humains. Certes on nous fait participer à des formations sur la bien-traitance, sur l'organisation correcte de son métier d'écoutante, des spécialistes viennent de l'extérieur nous divulguer la dernière réflexion psychologique en vogue mais tout ce détournement des fonds de la formation professionnelle se heurte à la réalité de terrain : le manque de personnel, le manque de moyens, la philosophie du métier réduit à un tableur excel et une ligne comptable.
De 10 heures par nuit (déjà éprouvantes et déstructurante au niveau de la vie familiale) on nous a fait passer à 12h par nuit (comme à l'hôpital) car, promis-juré il s'agissait d'une expérimentation d'organisation améliorée, on y gagnerait forcément plus de journées de repos (vive les vacances), ça ne durerai que quelques mois et on en ferait le bilan, rassurez-vous, et puis nous sommes une équipe, une grande famille, il faut se serrer les coudes, on s'entre-aide.
Mais la réalité fut autre. 2h de plus dans une nuit de travail ce n'est pas 2h de plus en début de prise de poste. Après déjà 10h d'attention à l'humain, de surveillance de chacun, de sonnettes qui sonnent ou ne sonnent désespérément pas car en dysfonctionnement, d'alarme incendie qui se déclenche sans raison (mais ça on ne le sait qu'après coup), d'ascenseur en panne et de médicaments ou draps à monter à bout de bras : on est lessivée, cuite, épuisée. Et devoir faire deux heures de toilettes de résidents au petit-matin ce n'est pas se préparer à quitter son poste et veiller à une transmission correcte des infos de la nuit pour l'équipe de relève afin que chacun des résidents soit suivit au plus près de ses besoins. Et lorsqu'on part du travail à 8h30 du matin et qu'on rentre chez soi : plus moyen de dormir, de se reposer, de récupérer. Tout au plus quelques heures de sommeil, quatre ou cinq au maximum afin de reprendre le travail en début de soirée. Je ne vous raconte pas du Zola du 19ème siècle je vous parle de mon présent et de celui de dizaines de milliers de salariées. Et si en plus vous avez des enfants, des ados : imaginez la situation. Aucune de nous n'a, vous vous en doutez, de personnel de maison, de bonne, de gouvernante, de chauffeur, de prof à la maison.
Croyez-vous qu'on avait besoin, en plus, de cette violence et de ce chantage institutionnel ? Soumets-toi à une piqûre hasardeuse ou on te vire, et sans indemnités aucune ?
Croyez-vous avoir le droit, parce que vous avez décidé personnellement de tenter cette injection pour vous rassurer ou pour pouvoir partir en vacances ou recommencer à vivre comme avant (mon oeil) en acceptant ce contrôle social digne de la dictature capitalo-communiste chinoise : croyez-vous avoir le droit de nous bannir de l'espace collectif? de la société? de nous jeter à la rue? de détruire nos familles ?
Par ce que je suis, nous sommes, des professionnelles expérimentées et de terrain, nous connaissons mieux qu'un technocrate de ministère ou d'ARS, qu'un banquier-président et ses staffs d'experts désignés par lui quelles sont les modalités pour que vos proches, vos ainées, vous-même soyez le mieux protégé et cajolé. Pensez-vous qu'il nous a fallu attendre un quelconque ordre d'Etat pour accompagner les résidents, les veiller, leur offrir la qualité maximale d'accueil et de soins?
Je refuse cette injection car personne n'a assez de recul sur les effets de cette nouvelles technologie de manipulation génétique. C'est tout. Je suis aide-soignante pas le rat d'un laboratoire privé en recherche de cobayes humains à grande échelle et mu par le marché profitable très rentable des maladies. D'ailleurs pourquoi inoculer à des millions d'individus un produit que seuls les fabricants et les politiciens qui leur octroient des millions d'euros sur fonds publics vantent le bien-fondé ?
J'ai plus confiance en mes collègues de terrain, en l'équipe pluridisciplinaire avec laquelle je travaille avec des avis parfois différents voir divergents (mais c'est justement ce qui évite les erreurs et les stratégies inopportunes) qu'en un petit groupe de spécialistes et pontes en blouse blanche (inutilisée depuis parfois très longtemps) unanimiste.
Je vous implore, parents, grand-parents, filles et fils de ne pas céder à une panique plus idéologique et mentale que reposant sur une réalité. Oui il y a des décès dus à l'aggravation des pathologies de nos résidents par ce virus. Ces "vieux" souvent usés par des années de dur labeur ou ses moins âgés victimes de maladies neuronales ou mentales (souvent dues à des éléments de mode de vie et d'environnements dégradés et nocifs).
Nous affrontons d'ailleurs à longueur d'année la mort et depuis très longtemps. Qui s'en est soucié? qui s'en souci? La mort fait partie de notre quotidien professionnel depuis toujours mais cela ne banalise pas le drame qu'elle représente pour les familles et pour nous, surtout si des liens de complicité bienveillante s'étaient noués au fil des mois, des années entre le soignant et le résident.
Je vous livre aussi un secret : plusieurs décès inéluctables de résidents dus à leur état malheureusement délabré ou leur très grand âge on été déclarés et passés en "cas covid" alors que se n'était pas la cause du décès. Et un autre : la plupart des résidents atteint par ce virus sont sortis indemnes soit naturellement soit avec une assistance médicalisée.
Et vous voudrez que je me fasse piquer ? Plutôt partir et vous laisser répondre aux besoins de vos proches vous-mêmes puisque vous affirmez que vous, à l'opposé de nous, avez le sens de la responsabilité et du bien-être collectif.
J'en ai marre de subir cette maltraitance gouvernementale et d'une partie de la population hébétée. Je tombe la blouse. Démerdez-vous maintenant. Adieu.
Depuis l'année 2000, savez-vous que Pfizer a été inculpé 71 fois d'infractions pénales & civiles et a payé plus de 4 milliards de $ d'amendes, voyez ci-dessous les photos des délits et suivez le lien officiel des enregistrement,
Les principales infractions
*la commercialisation non approuvée de produits
*la corruption
*les fausses déclarations
*les violations de sécurité
Big Pharma nous veut du bien…!!
https://violationtracker.goodjobsfi...