3ème Forum Social Mondial Antinucléaire : En route vers un monde sans nucléaire, ni civil ni militaire (Paris, du 2 au 4 novembre 2017)
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Logofinal - copieDepuis la première session du Forum Social Mondial (FSM) qui a eu lieu à Porto Alegre en 2001 de nouvelles thématiques sont venues enrichir la dynamique. Un premier Forum Social Anti-nucléaire s’est tenu au printemps 2016 à Tokyo, où un « Appel pour un réseau mondial vers un monde sans nucléaire » a été lancé. A Montréal, un second Forum Antinucléaire a eu lieu à l’occasion du FSM. En 2017, c’est en France, pays le plus nucléarisé au monde, qui accueille ce troisième Forum Social Mondial antinucléaire.

Cette rencontre internationale sera l'occasion de débattre de toutes les questions liées à la lutte contre le nucléaire civil et militaire, de partager les expériences de luttes et de chercher ensemble les moyens d’agir pour l’émergence d’un monde sans armes nucléaires et sans production d’énergie d’origine nucléaire.

En France

La France a connu ces dernières années une succession ininterrompue d’échecs retentissants pour la filière nucléaire, échecs financiers, économiques, technologiques, d'ingénierie, de gestion prévisionnelle : Areva n’a été sauvée de la faillite que par l’intervention de l’État donc des contribuables, des fraudes dans la fabrication des pièces des réacteurs atomiques (cuves et générateurs de vapeur) ont révélé les turpitudes de l'atomiste tricolore et conduit à la mise à l’arrêt d’une bonne partie du parc nucléaire pour des raisons de sécurité, le désastre financier et technique de son EPR en Finlande (Olkiluoto) se traduit par des coûts de construction explosés et de lourdes pénalités financières à verser à l'exploitant électrique finlandais; la gestion au doigt mouillé d'EDF et ses fuites en avant aventureuses dans des projets d’EPR en France (Flamanville) ou encore en Angleterre (Hinkley Point) mettent en péril sa santé financière et l'ont fait éjecter du CAC40 tandis que son action perdait 80% de sa valeur. Le CEA qui est à la manoeuvre et engloutit plus de 80% du budget national de la Recherche influence, initie et pilote des projets démentiels tels ITER, RJH, Astrid, Cigéo, Iceda,...

Au quotidien les 58 réacteurs nucléaires de EDF dont la moitié ont dépassé les 30 ans (plus que l'âge du minitel, du magnétoscope à bande, de l'Atari 8bits à disquette de 56ko, huit ans avant la carte à puce, neuf ans avant le walkman ), les 22 installations nucléaires d'Areva, les 38 du Commissariat à l'Energie Atomique, les installations nucléaires militaires secrètes rejettent dans l'air que nous respirons et dans notre eau de consommation des radio-contaminants mortels qui provoquent à moyen et long termes des maladies invalidantes (thyroïde, tumeur du cerveau, anomalies du muscle cardiaque), des cancers mortels (foie, rein, poumons, sang, peau, os,...), des déstructurations de l'ADN et atteintes génétiques sur la descendance. La France compte officiellement 170 INB ("Installations Nucléaires de Base") plus un bon nombre d'autres installations sorties administrativement et abusivement du lot et qualifiées - bien qu'elles manipulent et stockent des matières nucléaires - d'Installations Classées Pour l'Environnement (ICPE).

Les autorités administratives ou les agences d'Etat, telles l'Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) et l'Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) ou encore l'Agence Nationale pour la gestion des Déchets RAdioactifs (ANDRA) ne sont pas là pour protéger les populations et territoires mais pour veiller au grain et faire en sorte que le nucléaire poursuive son emprise sur le monde en surmontant ses propres faiblesses, impostures et déséquilibres.

Dans le Monde

Dans le monde entier, le nucléaire a engendré des problèmes ingérables. Les déchets radioactifs mortels - certains pour plus d'un million d'années - sont imposés aux 1000 générations à venir qui se trouvent contraintes d'en assumer la gestion malgré elles et à notre place de "vieux cons" ayant accepté de courber la tête en échange de quelques "sucettes consuméristes" qualifiées de progrès et de progression du PIB. La raison voudrait tout simplement de cesser de produire cette "merde". 

L’extraction de l’uranium - souvent de caractère colonialiste - dans les pays du tiers monde, africains, asiatiques ou au Canada est une source majeure de destruction de l'environnement, d'exploitation violente des salariés, de contamination sanitaire, de pollution y compris au CO2, de négation des droits des peuples autochtones.

Les travailleurs de la maintenance du nucléaire, notamment les intérimaires et précaires sous-traités ("la viande à Rem"), subissent des expositions répétées à la radioactivité qui portent atteinte à leur santé et mettent en danger leurs vies.

Les catastrophes nucléaires de Mayak (Septembre 1957 en URSS), Windscale/Sellafield (10 octobre 1957 en Angeterre), St Laurent des Eaux (17 octobre 1969 en France), Three Mile Island (28 mars 1979 aux USA), Tchernobyl (26 avril 1986 en URSS-Ukraine), Fukushima (11 mars 2011 au Japon) montrent à quel point les nucléocrates et leur obsession de destruction de l'atome sont source de malfaisances. Avec le soutien complice et criminel de l'Agence Internationale pour la promotion de l'Energie Atomique dite civile (AIEA) et des autorités qui légalisent la contamination des populations en les obligeant à vivre sur des territoires contaminés (programme Ethos).

Nucléaire réponse au changement climatique : la pire des réponses

Contrairement aux affirmations du monde nucléocrate dominant nos vies et la planète, le développement du nucléaire ne peut pas être une solution au problème du changement climatique, non seulement parce que cette activité émet elle aussi des gaz à effet de serre et CO2 (extraction, construction, transport, démantèlement, stockage), mais aussi parce qu’il faudrait construire des centaines de réacteurs atomiques (près de 1200) pour répondre aux besoins toujours conçus en expansion et augmentation exponentielle des PIB. Risques multipliés démesurément à la clef : rejets radioactifs quotidiens accrus, accidents et catastrophes nucléaires mondiales à répétition, stocks de déchets mortels ingérables, encouragement à la prolifération de l'armement nucléaire et aux menaces de dirigeants obsessionnels et fous.

Le lien originel et permanent du nucléaire militaire et civil

Les liens entre nucléaire civil et nucléaire militaire sont consubstantiels et ne font qu'un depuis l'origine, le premier étant le fabriquant et le vecteur de l'existence et de la prolifération du second, avec les mêmes acteurs au niveau mondial et en France (CEA, Areva, EDF). La destruction de l'atome étant la finalité et le processus technologique de l'un comme de l'autre. Seule la pratique en marque une différence de façade.

A ce jour la bombe atomique a déjà fait plus de morts au cours de sa mise au point et des 2078 essais nucléaires (États-Unis : 1 054, Union soviétique : 715, France : 210, Chine : 45, Royaume-Uni : 45, Corée du Nord : 5, Inde : 2, Pakistan : 2, Israel : ?) que du fait de son utilisation monstrueuse et criminelle par les Etats-Unis sur les populations civiles d'Hiroshima et de Nagasaki en août 1945. L’hémisphère Nord est toujours recouvert aujourd'hui des retombées rémanentes radioactives des essais des années 1960 dont ceux perpétrés par la France sur les territoires de l'Algérie et Polynésie.

Un rapport scientifique de l'Académie des Sciences de New-York basé sur les milliers d'études internationales montre que le nucléaire, qu'il soit présenté officiellement comme civil ou militaire a engendré la mort de 60 millions de personnes sur Terre.

Les obsessions idéologiques et politiques de dissuasion nucléaire sont tout à la fois criminelles et coûteuses et se perpétuent au détriment du bien-être commun et individuel, des budgets publics de santé, d'éducation, social et culturel. Elle sont en violation de la résolution de l’ONU qui condamne l’emploi de l’arme nucléaire, considéré comme un crime contre l’humanité.

Quelles perspectives ? Quelles solutions ? Quelles actions et luttes ? Quelles stratégies ?

Comment mettre un terme à cette activité qui, de l’extraction des matières uranifère jusqu’à la gestion des déchets, est délétère et mortifère, fait régner la terreur sur tous les peuples ? Comment éviter une nouvelle catastrophe atomique majeure ? Devons-nous attendre une éventuelle et lente transition énergétique permettant uniquement au capital de surmonter ses propres contradictions financières et de baisse tendancielle du taux de profits ? Quelles seraient les stratégies permettant à la fois d’arrêter immédiatement ou très rapidement en cinq ans la production d’énergie d’origine nucléaire et de réduire les émissions de gaz à effet de serre d’origine anthropique ?

L’ouverture de négociations à l’ONU, en 2017, pour un traité d’interdiction des armes nucléaires pourrait être enfin un pas décisif vers le désarmement nucléaire mondial puisque déjà 122 pays se sont prononcés en sa faveur. Mais les cinq puissances atomiques, dont la France, refuse de rejoindre le traité. Comment l'y contraindre ?

Autant d'interrogations, de réflexions, de débats et confrontations qui feront de cette rencontre internationale un temps aussi de partage d'expériences et de recherches communes de moyens d’agir plus efficacement pour l’émergence d’un monde libéré de l'atomisme

Arret-Nucleaire_drapeaux_internationaux.jpgLe programme

Jeudi, 2 Novembre

à partir de 9 heures : Accueil à la Bourse du Travail au 29 Boulevard du Temple (Paris 3ème - Metro Répubique ). Trois salles accueilleront ensuite les participants : 3 rue du Chateau d’Eau, 67 rue de Turbigo et 29 Boulevard du Temple

9:45-12 heures : Plénière d’Ouverture avec Chico Whitaker (membre fondateur du FSM – Historique du Forum Social Mondial), Naoto Kan (ancien premier ministre) en vidéo avec un message au FSMAN "pourquoi je suis devenu anti-nucléaire", Dr. Hisako Sakiyama (membre de la commission parlementaire japonaise) à propos de la situation de Fukushima, présentations du nucléaire civil en France et du nucléaire militaire en France

12:00-14:00 : Animation sur le nucléaire, Place de la République (proposé par SDN 19)

14:00-16:15 : Ateliers

. "Abolition des armes nucléaires" (Atomwaffenfrei/Trident Ploughshares/IPPNW-France) avec Cameras politiques et le film « La bombe et nous » (Xavier Marie-Bonnot 2017, 80′, VOSTF) suivi d’un débat sur le nucléaire militaire (la première partie)  Interprètation français-anglais

. "Le désastre de l’EPR" (CAN-Ouest, CRILAN, Stop Hinkley, Women Against Nuclear Power – Finland et Beyond Nuclear) Interprètation français-anglais

. "Arrêt immédiat du nucléaire : c’est indispensable et c’est possible !" (CCOA, Décroissance Idf, ADN73)

. "Industrie nucléaire et contaminations radioactives : renforcer les capacités de mesure des ONG" (Criirad)

. "Ethos à Fukushima, stratégie de l’ignorance et mainmise du lobby nucléaire international" (Echo-Echanges) Interprètation français-anglais

. "Le nucléaire dans le monde et les coûts du nucléaire" (Global Chance) Interprètation français-anglais
Observatoire des armements – Quelle action pour les victimes des essais nucléaires ?

16:45-19:00 Ateliers :

. "Abolition des armes nucléaires"  (Atomwaffenfrei/Trident Ploughshares/IPPNW-France) et "Les actions de désobéissances civiles en Europe contre le nucléaire militaire" (la deuxième partie)  Interprètation français-anglais

. "Inde : extension de l’électronucléaire et réduction des espaces démocratiques" (ADN Lot, DiaNuke) Cameras politiques : film «Jaitapur Live » (Pradeep Indulkar, 2013, 33′, VOSTF en présence du cinéaste et d’André Larrivière, traducteur des dialogues)

. "Impact des mines d’uranium" (Anti-Nuclear Alliance of Western Australia-ANAWA, Collectif Mines Uranium-CMU) et Cameras politiques : film «Uranium » (Magnus Isacsson, 1990, 48′, doublage en français) Interprètation français-anglais

. "Nucléaire et finance : le pouvoir des lobbies contre la démocratie" (Attac)

. "Les travailleurs nucléaires en France" (Réseau Sortir du nucléaire) et Cameras politiques : film « Condamnés  à réussir » (François Jacquemain, 1976, 60′, VOSTF, en présence du cinéaste)

. "Atelier théâtre" pour préparer l’action théâtrale du Samedi, 4 Novembre (LACSE première partie)

19h15-21h30

. Film spécial : « Couvercle du soleil » de Futoshi Sato (2016, 132, VOSTF); première présentation publique en France, en présence du producteur Tamiyoshi Tachibana. Bourse du Travail, 29, boulevard du Temple , 75011 Paris.

MCCA_CAN-SE_FSM-AN_Victoire.jpgVendredi, 3 Novembre

9:45-12:00 Ateliers

. "Quelle stratégie pour en finir avec le nucléaire civil et militaire ?" (ACDN, Mouvement Utopia et Sortir du nucléaire Suisse romande)  Interprètation français-anglais

. "Armes atomiques" (Agir pour la paix-Belgique et ICAN)

. "Relance de la filière plutonium par le projet de construction à Marcoule du réacteur à neutrons rapides Astrid" (CHANG)

. "Les déchets radioactifs" (FNE et Nuclear Heritage Network)  Interprètation français-anglais

. "Vers un mouvement europeéen anti-nucléaire" (MIA, Nuclear Heritage Network et PLAGE) Interprètation français-anglais

. "Les enjeux de la gestion de l’eau dans le nucléaire. Bassin fluvial, bassin de luttes?" (SDN Loire et Vienne et CRIIRARD)

. " Fukushima 2011-2017: Etat des lieux : la multiplication du cancer de la thyroïde chez les enfants" (Yosomono-net)

12:00-14:00

. Animation sur le nucléaire, Place de la République (proposé par SDN 19)

14:00-16:15 Ateliers

. "Libérer l’ONU du nucléaire" (Fin du nucléaire Belgique, l’Assemblée des Citoyens du Monde et la Ligue Internationale des Femmes pour la Paix et la Liberté) et Cameras politiques : film « Controverses Nucléaires » de Wladimir Tchertko (2003, 50’, VOSTF, extraits)

. "Les mouvements antinucléares. Bilan critique et perspectives ouvertes par la crise de l’industrie nucléaire" (CCOA, Décroissance IdF avec MIA, Nuclear Heritage Network et PLAGE) .  Interprètation français-anglais

. "Démantèlement des centrales nucléaires" (CRIIRAD, Global Chance et RSDN)

. " Comment préserver l’histoire du mouvement anti-nucléaire?" (Laka Foundation) Interprètation français-anglais

. "Santé et nucléaire : De l’invisibilité des travailleurs irradiés au mythe de la radioactivité quasi-inoffensive" (RSDN et IndependentWHO)

. "Rosatom: la situation de l’énergie nucléaire en Russie et les activités d’exportation du nucléaire Russes" (Russian Social-Ecological Union, Radwaste Program)  Interprètation français-anglais

. "Atelier chorale" pour préparer l’action théâtrale du Samedi, 4 Novembre (LACSE, deuxième partie)

16:45-19:00

. Plénière témoignages : Sonali Huria (Inde), Nadezda Kutepova (Russie), Minoru IKEDA (Japon), Oleg Veklenko (Ukraine), Pinar Demircan (Turquie), Philippe Billard (France), Leona Morgan (Navajo, USA), Almoustapha Alhacen (Niger)

16:45-19:30

. Cameras politiques : Documentaire « Iitaté : Chroniques d’un village contaminé » de DOI Toshikuni (2013, 119 min, VOSTF), débat animé par Kolin Kobayashi, Echo-Echanges (Salle municipale Jean Dame, 17 rue Léopold Bellan, Paris 2ème, métro Bourse)

20:00

Soirée Conviviale au Restaurant Bio « Grand Bréguet » 17, rue Bréguet, 75011 Paris [repas 10-15€]

Arret-Nucleaire_drapeaux_internationaux.jpgSamedi, 4 Novembre

9:45-12:00 Ateliers :

. "Quelles actions pour Arrêter le Nucléaire?" (ADN, NAH-HAGUE et Réactions en Chaîne Humaine)

. " Abandonner le nucléaire et répondre au défi climatique" (Attac) Interprètation français-anglais

. "Retour sur le désastre de Mayak et l’action de Belrad auprès des enfants touchés par Tchernobyl" (ETB)

. "Stratégies de lutte antinucléaire Nord-Sud" (FUNAM et Campus Cordoba Right Livelihood College-RLC)

. "Sortir du nucléaire : une chance pour les travailleurs et pour l’emploi !" (RSDN et NTEWJ)

. "Effets des radiations ionisantes sur la santé et sur les droits de l’homme" (IPPNW Suisse et CIDCE) Interprètation français-anglais

. "Bure-La bataille du nucléaire : présentation du livre" (RSDN) Interprètation français-anglais

10:00-13:00

. Atelier pour préparer l’action théâtrale (LACSE troisième partie)

12:00-14:00

. "Animation sur le nucléaire", Place de la République (SDN 19)

13:00

. Action théâtrale Place de la République (LACSE)

14:00-16:15

. Plénière de clôture " Science, société et nucléaire" avec Bertrand Méheust, philosophe/sociologue

. Synthèse des débats, Sur la construction d’un réseau international

. Suite à donner au Forum social antinucléaire


Arret-Nucleaire_drapeaux_internationaux.jpgDimanche, 5 Novembre

. Visite à Bure : Départ (par bus) 7:00 devant l’hôtel Crowne Plaza, 10 Place de la République, 75011 Paris; retour 21:00

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Plusieurs organisations françaises et internationales participent aux différentes étapes de la construction du Forum, au sein du Comité de Facilitation, de l’Assemblée Permanente, et de l’Assemblée Internationale.

Le Forum est soutenu financièrement par les organisations suivantes : Abolition des Armes Nucléaires – Maison de Vigilance,  ACDN (Action of Citizens for Nuclear Disarmament), Association Internationale de Techniciens, Experts et Chercheurs (AITEC), Attac France, Collectif Anti-Nucléaire Ouest (CANO), Collectif Arrêt du Nucléaire (ADN), Collectif contre l’ordre atomique (CCOA), Comité de réflexion, d’information et de lutte anti nucléaire (CRILAN), Confédération Paysanne, ContrAtom, Décroissants Aderoc, Décroissance Ile de France, Echo-EchangesEnfants de Tchernobyl Belarus (ETB), Fin du Nucléaire Belgique, Fondation Un Monde par Tous, France Nature Environnement (FNE), Global Chance, Greenpeace France, Independant WHO, Nucléaire Stop Kernenergie Belgique, Réseau Sortir du Nucléaire, Sortir du Nucléaire Loire et Vienne, Stop Hinkley, Union Syndicale Solidaires

Comité de Facilitation : Abolition des Armes Nucléaires – Maison de Vigilance, Appel du 26 avril, Association Des Rencontres de l’Objection de Croissance, Attac France, Brut de Béton Production, Collectif Arrêt du Nucléaire, Collectif contre l’ordre atomique, CSFR, Décroissance Ile-de-France, choEchanges, ICAN France, Independent WHO, Réseau Sortir du Nucléaire, Stop Fessenheim, Syndicat National de l’Environnement – Fédération Syndicale Unitaire, Union Syndicale Solidaires

Assemblée Permanente (en plus des membres du Comité de Facilitation, l’Assemblée Permanente comprend) : Confédération Paysanne, Coordination antinucléaire sud-ouest, Enfants de Tchernobyl-Belarus, France Nature Environnement, Collectif contre l’Enfouissement des Déchets RadioActifs (CEDRA)

Assemblée Internationale (en plus des membres de l’Assemblée Permanente, l’Assemblée Internationale comprend) : Agir pour la paix (Belgique), Attac Espagne (Espagne), Ecologistas en Acción (Espagne), Fin du nucléaire (Belgique), Friends of the Earth Australia (Australie), Fundación para la defensa del ambiente (FUNAM) (Argentine), Grup de Científics i Tècnics per un Futur No Nuclear (Espagne), International Peace Bureau (IPB), Internationales Bildungs- und Begegnungswerk (IBB) (Allemagne), Nucléaire Stop Kernenergie (Belgique), Nuclear Consulting Group (Grande Bretagne), Pressenza, Stop Hinkley (Grande Bretagne)

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Pour en savoir plus : site internet http://fsm-antinucleaire2017.nuclearfreeworld.net
contact : info@wsfnonuke.org