Alerte : contamination de l'Europe à l'iode131 en cours suite à un accident nucléaire en Norvège
Par Rédaction le dimanche 12 mars 2017, 17:47 - International - Lien permanent
Alerte : en ce jour (12 mars 2017) on apprend que la Norvège contamine toute
l'Europe avec de l'iode 131 radioactive depuis plusieurs semaines (on
évoque même fin octobre). Un accident nucléaire sur le réacteur de
recherche atomique de Halden en serait à l'origine. Le risque de
contamination des populations du nord et jusqu'à la France n'est pas
négligeable notamment pour les enfants et adolescents. Les autorités norvégienne comme française pratiquent la
rétention d'informations.
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En Norvège, un coeur de réacteur atomique expérimental serait, comme à Fukushima, hors de contrôle. De l'hydrogène radioactif s'accumulerait dans son enceinte. L'exploitant et l'équivalent de notre ASN procèdent à des rejets radioactifs dans l'atmosphère pour éviter l'explosion et la catastrophe atomique européenne. Il s'agirait du réacteur de Halden (1). La Norvège exploite 4 réacteurs de recherche à Kjeller : NORA (activé en 1961, arrêté en 1967), JEEP I (activé en 1951, arrêté en 1967), JEEP II (activé en 1966) et à Halden : HBWR - Halden Boiling Water Reactor (activé en 1959) à la frontière suédoise. Une ville d'environ 30 000 habitants et de 640 km2.
C'est un des produits de fission les plus redoutés lorsqu'il est relâché dans l'environnement. Très mobiles car volatils, les isotopes radioactifs de l’iode se dispersent puis se déposent un peu partout puis sont captés par les feuilles des végétaux, puis absorbés par les racines, puis ingérer par les animaux ou les humains qui consomment alors des aliments contaminés. La teneur en iode-131 doit être surveillée dans la chaîne alimentaire durant plusieurs semaines, le temps que ce radioélément cesse d'irradier. Des contrôles de radioactivité du lait et des végétaux sont primordiaux en particulier les légumes à grandes feuilles comme les épinards et les laitues. L'eau doit être également surveillée. D'autant que très radioactif l'iode-131 va voir sa radioactivité divisée par 1000 tous les 80 jours seulement. Autrement dit la quantité d’iode-131 est divisée par 2 tous les 8 jours, par 2500 tous les trimestres et il faut attendre une année pleine pour qu'il n’en reste plus trace dans les aliments.
Si l'alerte avait été lancée suffisamment tôt par les autorités, des irradiations inutiles auraient pu être évitées dans la population par la prise de mesures de protection. Mais dès le début les autorités européennes sont restées dans une incapacité à identifier l'origine de cette contamination radioactive et, comme lors des catastrophes nucléaires de Tchernobyl et Fukushima ont privilégié le mensonge par omission et la poursuite de l'activité économique et financière.
L'Est montré du doigt... à tort
Très vite les autorités européennes ont indiqué que ces rejets radioactifs anormaux pouvaient provenir d'un centre de recherche situé en Hongrie (l'institut de production de radio-isotopes de Budapest) qui s'était déjà rendu coupable du 8 septembre au 16 novembre 2011 de tels rejets. Mais sans certitude aucune. Cet "Izotop Intezet" disposerait selon l'Autorité à l’Énergie Atomique Hongroise d’une autorisation de rejets annuels de 1 600 GBq soit 1 600 milliards de Becquerels d'iode 131. Autorisation dont bénéficient aussi les installations nucléaires françaises (2). Puis le réacteur de la centrale nucléaire de Krško, en Slovénie, fut suspecté.


Les hypothèses vers l'Est font pschitt, l'Europe du Nord pointée du doigt
Ce n'est que le 13 février 2017 que l'IRSN (Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire) français a confirmé que « De l’iode 131, radionucléide d’origine artificielle, a été détecté, courant janvier 2017... en Europe” dont la France. Déjà cette contamination radioactive avait été mesurée sous forme d'aérosol (gaz) en Norvège, Finlande et Pologne (5,92 µBq/m microBecquerel par mètre cube) du 9 au 16 janvier, puis du 17 au 23 janvier en Tchéquie, en Allemagne du 16 au 30 janvier, puis du 18 au 26 janvier en France (0,31 µBq/m par exemple dans le Puy-de- Dôme) et du 17 au 24 janvier en Espagne (3).

Finalement c'est un physicien nucléaire proche de l'Autorité norvégienne de protection contre les rayonnements (NRPA) qui début mars (le 3 mars) indique qu'ont eu lieu des rejets d'iode radioactif au coeur du réacteur de Halden lorsque l'IFE [Institut de technologie de l'énergie] intervenait sur du combustible endommagé dans la salle du réacteur. L'opération a généré la libération de substances radioactives au travers du système de ventilation. Et s'est poursuivit le jour suivant. Alors que le NRPA (équivalent de l'ASN française) effectuait une inspection inopinée, les rejets radioactifs se poursuivant, la décision a été prise de fermer le système de ventilation pour limiter les rejets dans l'environnement. Mais cette disposition a, à son tour, engendré des problèmes encore plus graves. L'air pressurisé a bloqué les vannes du système de refroidissement du réacteur en position d'ouverture, ce qui a empêché la circulation de l'eau de refroidissement. Les jours suivants la sécurité du réacteur était dans un état plus que préoccupant.
En Norvège : situation identique à celle de Fukushima, la France impliquée
Le CEA fait partie des organisme associés à la gestion du réacteur Norvégien de Halden. Fonctionnant à l’uranium moyennement enrichi, le "combustible" (produit de fission atomique) de Halden est du MOX enrichi à 6% (comme celui du réacteur nucléaire n° 3 en perdition de la centrale nucléaire de Fukushima-Daiichi). Il est modéré à l’eau lourde, il suffit donc de 9 assemblages fissiles pour obtenir sa divergence. Toutes les autres positions dans le cœur sont libres pour accueillir des assemblages « expérimentaux ». Contrepartie de cette structure "légère" : le pilotage du cœur est très délicat (tout comme les 28 réacteurs nucléaires français chargé en Mox) . Il arrive que le coefficient de vide devienne positif. C’est probablement ce qui est arrivé : fusion d’au moins un assemblage du fait d’une caléfaction intempestive.
Des fluctuations de température dans le réacteur ont mis en évidence une augmentation du flux de neutrons dans le noyau et le danger de formation d'hydrogène. La même situation de formation d'hydrogène dans le noyau du réacteur qu'à Fukushima-Daïchi qui a engendré l'explosion et la catastrophe atomique. Comme au Japon, il ne restait plus pour les techniciens qu'une solution désespérée : ouvrir à nouveau les vannes même si cela signifiait libérer la radioactivité sur le reste du pays et plus loin. Tout comme à Fukushima les spécialistes de l'IFE n'ont pas compris la gravité de la situation .

La NRPA fulmine. Et impuissante, tout comme l'ASN l'est en France, de déclarer par la voix de son chef de la sécurité, Per Strand : « Nous allons étudier comment cela a pu se produire et pourquoi nous n'avons été avertis que le lendemain ».
Le traité de Non-prolifération nucléaire bafoué
L'IFE [Institut de technologie de l'énergie] aurait participé à un contournement illégal du TNP qui vise à empêcher/contrôler la prolifération nucléaire. Il a reconnu, selon le Président de l'organisme citoyen "Bellona" Fredrik Hauge, avoir violé le contrôle des exportations de matières nucléaires en vendant son expertise au Brésil pour le développement d'armes nucléaires dont la finalité serait la mise au point d'un réacteur d'essai et de carburant pour des sous-marins. Or un tel programme est soumis à déclaration et autorisation du Parlement et des instances internationales. (souvenons-nous de l'Iran)
Si ces révélations étaient confirmées elles représenteraient une violation grave du TNP par un pays européen. "Le fait que la Norvège contribue au premier sous-marin nucléaire d'attaque de l'Amérique latine est un scandale" a confirmé F.Hauge. Et une autre interrogation sans réponse encore en découle : l'IFE norvégien pourrait-il être un des relais derrière lequel le Commissariat à l'Energie Atomique agit ? A ce jour la question nécessiterait investigations des médias et clarification des autorités.
Les rejets radioactifs continuent-ils ? Les autorités sanitaires des pays concernés dont la France vont-elles encore garder un mutisme complice quitte à porter atteinte à la santé et à la vie de la population ?
- mise au point du 2017/03/17 19h15 : une polémique artificielle stérile a été lancée ces derniers jours visant à substituer à la problématique criminelle de la contamination radioactive sur plusieurs pays d'Europe depuis plusieurs semaines et son impact délétère sur la santé, une argutie sur l'origine exacte des niveaux de radiation. Nous refusons de tomber dans une bataille d'experts-écran de fumée et renvoyons d'une part au réseau européen de balises qui a détecté la contamination ainsi qu'à l'ensemble de notre article qui indique notamment que :
- " bon nombre d'installations nucléaires européennes sont autorisées a
rejeter dans l'atmosphère de l'iode radioactive au quotidien" dont les installations françaises. Ce faisant l'origine des rejets radioactifs relève d'hypothèses toutes plausibles (installations de recherche, centres militaires, réacteur électro-nucléaire,...) qui peuvent aussi se cumuler et se juxtaposer mais que la présence seule d'iode131 exclue certaines pistes
- l'iode131 "est un des produits de fission les plus redoutés lorsqu'il est relâché dans l'environnement. Très mobiles car volatils, les isotopes radioactifs de l’iode se dispersent puis se déposent un peu partout puis sont captés par les feuilles des végétaux, puis absorbés par les racines, puis ingérer par les animaux ou les humains qui consomment alors des aliments contaminés. La teneur en iode-131 doit être surveillée dans la chaîne alimentaire durant plusieurs semaines, le temps que ce radioélément cesse d'irradier. ". C'est la question sanitaire et de protection de la population qui devrait mobiliser chacun plutôt que des postures de sphère d'influence et de business.
- actualisation du 05/04/2017 : l'IRSN publie ce 5 avril 2017 une note d'information qui vise à minimiser la contamination radioactive de l'Europe à l'iode131 pendant plusieurs mois. Aucune information fiable sur une autre origine, une simple hypothèse venue de l'Europe de l'Est. Pour un organisme sensé nous alerter : ça craint !!
(1) Le HBWR est un réacteur à eau bouillante à circulation naturelle. La puissance maximale est de 25 MW (thermique) et la température de l'eau est de 240 ° C, correspondant à une pression de service de 33,3 bars. La superficie du site atomique est de 7000 m 2 . Le circuit primaire du réacteur est situé à l'intérieur d'une caverne rocheuse situé sous 100 mètres de roches et d'un volume net de 4500 m 3 . Le revêtement de la roche a une épaisseur de 30-60 m. Cette cavité artificielle a été creusée durant la seconde guerre mondiale par les troupes allemandes, comme pour le réacteur de Joliot à Chooz.
14 tonnes d'eau lourde agissent comme réfrigérant et modérateur. Un mélange de vapeur et d'eau s'écoule vers le haut par circulation naturelle à l'intérieur des tubes de carénage qui entourent les crayons combustibles. Les circuits d'élimination de la chaleur sont placés à l'intérieur de la salle du réacteur ou dans le tunnel d'entrée du réacteur. La salle de contrôle et les installations de service sont placées à l'extérieur de l'excavation. Les bâtiments de service contiennent des bureaux, des ateliers et des laboratoires.
(2) Un rejet d’iode radioactif de 300 + 324 GBq soit 624 GBq tel que celui déclaré par Izotop Intezet pour l’année 2011 est 28 300 fois supérieur aux rejets d’iode radioactif effectués en 2009 par la centrale atomique EDF du Tricastin (France) déjà attentatoire à la santé (et 130 fois supérieur à ceux effectués par l’usine Areva de retraitement de la Hague).
(3) http://www.irsn.fr/FR/Actualites_presse/Actualites/Pages/20170213_Detection-iode-radioactif-en-Europe-durant-le-mois-de-janvier-2017.aspx#.WMwcl2dFfZ5 (selon certains internautes cette page du site de l'IRSN semble ne plus être accessible en permanence. Notre site ayant sauvegardé par précaution la dite note IRSN : Il est possible de la télécharger par ce lien ) .
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autres sources :http://www.wikistrike.com/2017/03/norvege-une-centrale-nucleaire-a-fuite-et-pas-qu-un-peu.html . http://bellona.org/news/nuclear-issues/2017-03-norways-halden-reactor-a-poor-safety-culture-and-a-history-of-near-misses . https://youtu.be/uW6zTn2lCOc . https://francais.rt.com/international/28033-norvege-fuite-reacteur-nucleaire . https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=http://www.emtr.eu/hr.html&prev=search .
Commentaires
Je veux être informé des développements.
Nouveau mensonge européen par omission.
& on fait quoi maintenant qu'on est au courant ??
Merci de nous informer par cet article, mais nous, petit mortel, que pouvons nous faire? J'espère que l'information est réelle tout en le redoutant.................
Que faire alors ? Apportez des solutions concrètes pour que nous puissions nous protéger. Merci.
Que faire?
En l'état pas grand chose d'autant que le risque direct est quasi inexistant, les taux (après dilution) étant extrêmement faibles dans nos contrées (voir les mesures de la CRIIRAD: http://www.criirad.org/balises/CRII...).
Comme le dit bien l'article "on dilue" dans l’atmosphère ce qui conduit à des concentrations très faibles mais expose néanmoins tout le monde. Pour compléter l'article il faut comprendre à ce sujet que le niveau d'exposition moyen à la radioactivité ambiante (naturelle ET artificielle) à doublé depuis le début des essais dans les années 45 (le fameux bruit de fond présenté comme entièrement naturel par les nucléophiles) . Nous sommes donc (pour l'instant) deux fois plus exposés qu'avant les années 50. Ces rejets ne viennent donc finalement que grossir le capital des radionucléides artificiels qui se trouvent déjà dans atmosphère et son rejetés très légalement par toutes les installations nucléaires dans le monde. Que faire donc? Continuer de dénoncer cette industrie mortifère, s'éduquer (le net regorge de ressources sur la radioactivité, sa physique, sa nocivité, etc...) et enfin nous EN SOUVENIR lorsque nous mettrons notre bulletin dans l'urne. Le nucléaire existe aussi parce que nous sommes complétement accro à l'énergie... Pensez-y !
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Les enfoirés !
Je vois que la CRIIRAD a rédigé cette note :
http://balises.criirad.org/pdf/2017...
Du coup, je ne sais plus quoi penser...
Tôt ou tard..il y aura une pollution nucléaire...les Suisses l'ont compris depuis longtemps..abris antiatomiques dans les sous-sols de TOUS les immeubles...
bricou: le nucléaire existe parce qu'il sert certains lobbies. Depuis sa naissance beaucoup de voix ont dit que c'était une solution dangeureuse et qu'il fallait chercher des alternatives. Hubert Reeves a dû émigrer pour l'avoir dénoncé entre les premiers.
L'énergie peut se créer sans problèmes - Tesla, par exemple - et sans en créer de nouveaux. L'électricité est un business, tout simplement...
La seule solution est de saturer la thyroide des enfants avec de l'iode en comprimes. De cette facon leur thyroide ne fixe pas l'iode radioactif qui va endommager peu ou prou leur thyroide avec un risque de cancerisation tres eleve, meme a terme dans 20 ou 30 ans. Les autorites ne disent rien a ce sujet, la sante publique n'est pas leur priorite.
je ne m étonne pas que mon médecin m a rappelée pour contrôler, à nouveau ma T S H ,Je voudrais bien être informée très vite de ce grave fait . Bordel ! arrêtez toutes ces centrales qui nous ferons crever ! Marre de tout : politique et toutes ces non informations ; pauvre France
bonjour j’aimerais savoir ce que l’on risque ,d szapres ces dires,franchement
Comment protéger la thyroide', quel moyen naturel?
Quel moyen naturel en prevention ou en cure pour protéger la thyroide?
le terme Enfoirés est faible moi je dirai ASSASINS, idem pour le gouvernement et les militaires Françaix !!!
Combien par leurs fautes vont se chopper des cancers de la thyroïde maintenant, Tchernobyl et Fukushima n'ont pas suffit...
Jamais deux sans trois.
Le peuple ne compte pas, il subit, il va y avoir des comptes à rendre après la présidentielle, soyez en certains.
Et je suis persuadé que ceux qui savaient se sont protéger comme il se doit avec leur comprimé d'iode...
Pour se protéger , nous devons saturer notre glande thyroïde en iode : algues , poisson , huile de foie de morue ....
cet article est tout a fait inadmissible ! Vous avez melange les actualites d octobre 2016 et de fevrier/mars 2017... en octobre 2016 :http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2... fuite maitrisee du reacteur de norvege. en fevrier 2017 http://www.irsn.fr/FR/Actualites_pr... detection de trace d iodine dans les sols mais personne ne sait encore d ou ils proviennent...
ok, c est dangereux le nucleaire. on en veut pas forcement sous cette forme. il faut securiser et arreter avec cette folie d uranium... mais vous faites ici de la desinformation....
Ces politiques par intérêt personnel nous mentent en continu.
C'est criminel en santé publique.
J'y ai laissé ma thyroïde après Tchernobyl !!
Me suis avec plus de 500 malades portée partie civile.
Au final on nous a écrit que l'on ne pourrait plus rien faire contre Pellerin le menteur et coupable.
au va bientôt tous mourir
Je ne trouve pas l'article sur le site de l'isrn. Auriez vous un lien qui fonctionne?
bonjour,
votre analyse est démentie par la CRIRAD :
http://balises.criirad.org/pdf/2017...
Que répondez-vous ?
De manière pragmatique effectivement nous pouvons agir dans 35 jours en glissant un bulletin de vote
Pour Hamon ou Melanchon, seuls candidats à programmer la sortie du nucléaire.
Ce n'est pas rien que de voter en fonction de ce critère de santé publique !
Comment faire pour être prévenu?
Aprés Tchernobyl, nombre ont été traités pour la maladie d HASHIMOTO : une bonne source de revenu pour les labos... quel nom donnera -t- on à celle venue de Norvège ... accentuée par une nourriture empoisonnée au saumon ?
Oui ! voter avant tout pour la Planète est de toute Urgence !
Bonjour,
la vitamine C Liposomale apporte un bon soutien face aux radiations. Associée au Lugol, la parade est efficace ( le lugol ne peut être ingéré que dans un régime alimentaire très très pauvre en glucides.
Pour ma part, je ne perds pas mon temps à rechercher des coupables. J'adopte une posture intérieure qui consiste à reconnaître ma responsabilité dans tout ce qui entre dans mon "chant" de perception.
Ce qui ne me convient pas, m'invite à découvrir ce qui peut être transformé en moi. Je crois que c'est à l'intérieur de nous qu'il y a des choses à remettre en question. Toujours vouloir que ça change à l'extérieur, et ne pas toucher à mes habitudes c'est continuer de me voiler la face et croire à des chimères. Chacune/un a le "pouvoir" et la responsabilité de ce transformer.
Élever notre niveau de conscience, ouvrir plus grand notre cœur, être dans la bienveillance . . .
BonSoleil
M
nous n'en finirons jamais de souffrir de la folie des hommes .....
de quoi demain sera fait
les enfants devront t"ils portés des masques protecteurs
quand ils auront détruit la terre ils iront polluer la lune
Pourquoi l'ensemble de la presse mondiale ne dévoile pas cette tellement importante ??
C'est horrible de ne pas communiquer de la part des politiques
Stephania parce que cet article est un gros mensonge.
La preuve : http://balises.criirad.org/pdf/2017
Prendre du curcuma regulierement et cure de spiruline, tout est naturel, tres efficace et ca marche aussi contre les chaimtrails ( epandage des avions qu'on nous lache sur le coin de la gueule chaque jour...)
Bon! on va boycotter le saumon ! Trêve de plaisanterie ! Un vieux chef indien a dit il y a quelques années : " lorsque l'Homme Blanc aura mangé le dernier poisson et pollué la dernière rivière, il s'apercevra que l'argent ne se mange pas".
J'ai été longtemps en colère car je ne parvenais pas à mener une grossesse à terme. Aujourd'hui à 60 ans je remercie le Ciel. En effet je serais sans doute morte d'inquiétude pour mes descendants.
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